vendredi 30 octobre 2009

Nous avons raté : Sunn o))) au Berghain



Pris dans les débuts de la promotion parisienne du Berlin Sampler, nous n'avons pu nous rendre au Berghain pour voir Sunn O))), le moins clubbing des groupes de l'univers dans le temple de la néo-rave allemande. Le Berghain tient là sa promesse d'utiliser son système 6.1 parait-il unique au monde, pour des groupes à "matière sonique", hors de sa programmation dansante. Comme le disent les programmateurs sur leur site, ça n'est pas tous les jours qu'on écoute du Doom au Berghain ! Magnifique idée. L'alliance finalement pas si improbable des poilus préhistoriques primitifs du larsen et des gays moustachus dans leur enfer de béton. Deux formes de rituels modernes pas si éloignés, deux formes de bain sonique total. Idée à très forte résonance poétique. C'est bien malheureux de l'avoir loupé...

mercredi 21 octobre 2009

Abwärts au SO 36 le 7 novembre



Abwärts bougent encore... 29 ans après le (merveilleux, brûlant, rageur, ardent) premier EP, les voilà qui jouent au SO 36 qui lui fête sans gène son 31e anniversaire.... L'écoute des nouveaux tracks ne m'a pas surpris, c'est à dire qu'elle est d'une déception prévisible. D'un mauvais goût un peu hard-rock. Peut-être que le rock, et moins encore le punk/wave etc. n'est pas fait pour vieillir. La vie est une chienne.

Voir leur myspace :
http://www.myspace.com/officialabwaerts

mardi 20 octobre 2009

Le Guardian sur le Clubbing à Berlin

Visite du clubbing berlinois post-chute du mur, via le groupe Warren Suicide qui ne font d'ailleurs pas partie du Berlin Sampler (tout le monde ne peut pas gagner à la loterie)... Très bon article, qui passe en revue un peu rapidement un peu trop de chose, mais qui a le mérite de rappeler la force de l'identité musicale berlinoise. (Lien trouvé via la revue de Web du Monde).


http://www.guardian.co.uk/travel/2009/oct/18/stephen-emms-berlin-night-clubs

Collectif - La nuit où le mur est tombé


Les éditions Inculte publient une "recollection" des événements du 9 novembre 89 par quelques auteurs provenant des deux côtés du mur. On y parle peu de musique, mais beaucoup de Berlin. Mention spéciale à Pourquoi, le 9 novembre, j'ai dormi de Thomas Rosenlöcher. 265p. 25 euros.